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29 mars 2009



"Faut y croire !" "Fonce !" "Mais si tu trouveras" et j'en passe. Non non non non et allez tous vous faire foutre ! Ça transpire le romantisme. Ça en vient à me dégouter. Toujours à ce faire des films, croire en des choses qui n'existent pas. Ne crois plus en grand chose. Ils se moquent de moi. Cette vie sentimentale n'existe pas. Et les seules choses présentes sont "laides" dans la mesure où elles n'apportent que de la douleur...



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22 mars 2009

Il était une fois... De la merde !



"-Faudrait pas que tu fasses une bêtise et que tu brises tout." Pourvu qu'il me donne quelque chose d'efficace, qui marche, pas comme ces Smarties qui n'empêchent ni le stress ni les angoisses. Faut toujours vouloir ce que l'on ne peut avoir. Vouloir l'inaccessible aurait fait un bon sujet de philosophie. Je ne vais pas disserter la dessus on m'a toujours dit que j'étais nul en philosophie. Pourquoi s'entêter alors que je sais déjà comment ça va se finir. Sur un quai à courir après le train... A la place de l'italien qui court après Katharine pour lui dire "I love You" en langage international. Idiot il fallait lui donner ton verre avant ! Si seulement je pouvais tomber sur les rails. Arrêter de me faire un film avec rien et pour rien. La vie c'est comme une boite de chocolat qu'il me dit. Oui et bien la vie c'est des Léonidas. Elle finit par se périmer à cause de la crème. En fait je suis pas vraiment comme Forest Gump mais plus comme Maria Vargas. Sauf que moi je ne sais pas marcher pieds nus ! Je suis trop nunuche... Alors pieds nus à courrir après un train à ce compte là il peut se tirer sans son verre. Personne ne peut comprendre, sauf peut-être deux ou trois personnes. Je la joue Sartre. Quand j'écris c'est dur à comprendre. Sauf que moi je fais des fautes d'orthographe.



17 mars 2009

Le Mardi 17 avant le Mercredi 18



C'est embêtant de ne pas avoir le moral. Encore plus de ne pas avoir vraiment de soutient, et encore plus de se la jouer tout le temps Caliméro. C'est lassant de toujours se faire des illusions: Tu l'intéresses (?), il vient (?), il part (?). C'est déprimant de ne vivre uniquement de par ses rêves. Parce que au fond si Maria existait vraiment il n'y aurait pas de problème... Mais Maria n'étant pas là et ayant personne d'autre la vie dans sa globalité et déprimante. Parce que il y a des soirs ou on a pas franchement envie de vivre. Mais bon il reste encore quelques grands films à voir... Parce que JG, JD, NW & MM sont partis au bon moment. Donc pas tout de suite Monsieur. J'ai pas encore vu CK d'OW. Cette obsession pour le Cinéma cache quelque chose.

Blasé par cette vie, a l'impression d'avoir déjà tout vécu. Va pas bien. Pleure un bon coup et ça repart. Jusque quand ?

 

16 mars 2009

Copie_de_Fond_blanc_t_te_article

  1. The Barefoot Contessa (J.L.Mankievicz - 1954)
  2. Vertigo (A.Hitchcock - 1958)
  3. Rear Window (A. Hitchcock - 1954)
  4. Les Tueurs (R.Siodmak - 1946)
  5. Sunset Boulevard (B.Wilder - 1950)
  6. Aviator (M.Scorsese - 2004)
  7. North By Northwest (A.Hitchcock - 1959)
  8. Gentlemen Prefer Blondes (H.Hawks - 1953)
  9. Breakfast At Tiffany’s (B.Edwards - 1961)
  10. Some Like It Hot (B.Wilder - 1959)
  11. Moulin Rouge ! (B.Luhrmann - 2001)
  12. Niagara (H.Hathaway - 1953)
  13. The Philadelphia Story (G.Cukor - 1940)
  14. Bye Bye Love (P.Reed - 2003)
  15. Star Wars (G.Lucas - 1977)
  16. Parade De Printemps (C.Walters – 1948)
  17. A Bout Portant (D.Siegel - 1964)
  18. Un Meurtre Est Un Meurtre (E.Périer - 1972)
  19. Charade (S.Donen - 1963)
  20. Gilda (C.Vidor - 1946)
  21. The Birds (A.Hitchcock - 1963)
  22. Psychose (A.Hitchcock - 1960)
  23. Funny Face (S.Donen - 1957)
  24. La Rivière Sans Retour (O.Preminger - 1954)
  25. Autopsie D'Un Meurtre (O.Preminger - 1959)
  26. Bound (A & L.Wachowski – 1996)
  27. Dial M For Murder (A.Hitchcock - 1954)
  28. La Main Au Collet (A.Hitchcock - 1955)
  29. Titanic (J.Cameron - 1997)
  30. Black Book (P.Verhoeven - 2006)
16 mars 2009

West_Side_Story

(Robert Wise - 1961)

A venir.

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13 mars 2009

Rear_Window

(Alfred Hitchcock - 1954)

A venir.

13 mars 2009

Casablanca

(Michael Curtiz - 1942)

A venir.

13 mars 2009

Some_Like_It_Hot

(Billy Wilder - 1959)

A venir.

13 mars 2009

1stPlaceSanFranciscoCableCars

(Billy Wilder - 1950)

"Norma Desmond, grande actrice du muet, vit recluse dans sa luxueuse villa de Berverly Hills en compagnie de Max von Meyerling, son majordome qui fut aussi son metteur en scène et mari. Joe Gillis, un scénariste sans le sou, pénètre par hasard dans la propriété et Norma lui propose de travailler au scénario du film qui marquera son retour à l'écran, Salomé. Joe accepte, s'installe chez elle, à la fois fasciné et effrayé par ses extravagances et son délire, et devient bientôt son amant. Quand son délire se transforme en paranoïa et qu'elle débarque au milieu des studios Paramount pour convaincre Cecil B. DeMille de tourner à nouveau avec elle, Gillis commence à prendre ses distances..." (Source Allociné)




Film de Billy Wilder avec LE casting de rêve pour tout nostalgique du cinéma. La où le casting donne à l’œuvre une seconde dimension. Parce que l'on ne parle pas d'un simple film. Mais d'un chef d'œuvre classé dans les 15 plus grands films par l'AFI. Bref donc Billy Wilder à la réalisation, en soit c'est déjà beaucoup. Je ne connais pas encore réellement son œuvre et  même si ma connaissance reste superficielle, ce réalisateur est un génie. Revenons en au casting, on note William Holden, Gloria Swanson, Erich von Stroheim, Cecil B. DeMille, Buster Keaton...

Donc des noms qui si l'on s'intéresse un petit peu au cinéma muet et au cinéma parlant ne sont pas inconnus. Des acteurs qui ont de l’expérience, du vécu, en somme une histoire à raconter.

Mention spéciale à Gloria Swanson dans le rôle de la femme fatale. Encore plus glaciale qu'Ava Gardner dans les tueurs de Siodmak. Ici la femme n'est pas que fatale. Elle a cette petite touche de folie qui la rend effrayante. C'est vrai que c'est très grandiloquent... Un jeu très théatral avec emotions qui reposent surtout sur une gestuelle. Des citation culte: "Je suis grande, c'est le cinéma qui est devenu trop petit !". Elle campe ici une actrice du muet ayant raté sa conversion à savoir la transition muet/parlant. Or Gloria Swanson était une actrice du cinéma muet dont la carrière à décliné pour les même raisons. Rendant ainsi le film encore plus crédible. Sauf qu'ici elle démontre qu'elle est une grande actrice du cinéma tout court. Son visage et je trouve très expressif, ce qui est le minimum pour une star du muet.

On enchaine directement sur Cecil B. DeMille, qui joue ici lui-même. Encore une fois le choix de DeMille est judicieux. DeMille et censé dans ce film avoir tourné de grands films muet avec le personnage de Swanson. Or il s'avère que celui-ci à réellement beaucoup tourné avec G.Swanson ce qui rend encore plus réaliste le tableau que Wilder fait d'Hollywood, a savoir que les stars ne sont que des produits qui une fois usagés sont jetés. On peut le voir à travers sa relation avec Swanson. Il apprécie la personne, mais plus l’actrice. Elle a fait son temps et a laissé sa place, qu’elle ne saurait reprendre par ailleurs, à la nouvelle génération. La scène où ils se retrouvent le montre d’ailleurs. Là ou Swanson s’est arrêtée, DeMille lui a continué. Les acteurs n’ont qu’une durée de vie limitée. Malgré ça, Wilder nuance quand même son propos à savoir qu’ils ne sont pas totalement oubliés. Si le public oublis, les professionnels non. Et lorsque le personnage de Swanson retourne sur un plateau on la reconnaît, comme étant la star d’autrefois. Vision qui me semble au final encore plus cruel.

Les seconds rôles sont très bon en particuler Erich von Stroheim dans le rôle d’un réalisateur ayant tourné ses plus grands films avec le personnage de Norma Desmond (Gloria Swanson). Or là aussi la fiction rencontre la réalité. On a donc un film qui repose en grande partie sur une mise en abine à savoir que dans l’ensemble les acteurs jouent le rôle « de leur vie », leur personnage détient une part d’eux même. Ce qui rend le film encore plus prenant.

Reste les personnages de William Holden et Nancy Olson. Deux personnages « modernes» dans le sens on ils ne sont pas prisonniers de ce monde onirique dans lequel sont enfermés la plupart des personnages. Ils en seront les victimes. On remarque la rupture entre Norma Desmond et l’ecrivain (Holden) tout au long du film. Ils ne se comprennent pas, ne sont pas de la même époque. Et pourtant ils sont liés. Jusqu’au dénouement tragique finalement assez logique et moral. Le faible se révoltant et tuant le profiteur.

13 mars 2009

Début


Tout nouveau tout beau...
On commence avec "Put On Your Sunday Clothes".


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